aidez moi svp a faire un productiin sur le pire souvenir de ta vie

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Question

Grade: Education Subject: francais
aidez moi svp a faire un productiin sur le pire souvenir de ta vie
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Je me souviens vaguement, comme un éclair fugitif ou un voile que l’on abaisse furtivement , le livre cartonné que j’aimais à feuilleter, petite déjà. Si je dis furtivement, que ce souvenir m’apparais vaguement, embroussaillé dans la forêt de souvenances encombrantes, c’est qu’il n’apparaît sous son vrai jour qu’au bout d’un certain nombre d’année. Es-tu certaine de ce que tu avances ? Tu ne te rapelles pas ces longues pages jaunies au angles… Si bien sûr ! Je dis simplement que la totalité de cette réminiscence n’est qu’ocasionelle. Elle est toujours vêtue de pensées dérobées à mon imaginaire ou bien à ma raison ! Mais je sais simplement que ce que le flot de mon esprit veut bien me dévoiler, parfois, cela dépend, c’est flou, comme une image peu développée, cela disparaît… Mais est-ce tout ce dont tu te rapelles ? Les affirmations chétives de ton subconscient ? Est-ce une preuve suffisante ou est-ce la une preuve de plus que les années passent ? Oh, mais elles passent ! Les minutes s’égrennent, se volatilisent et s’évanouissent, avec la fugacité et la rapidité que leurs prêtent les heures. Alors, tu ne te souviens de rien, comme est-ce possible ? Il y a bien des mots, des images Oui, il y a des moments concrets, qui ressurgissent, comme rejetés par l’écume de mes souvenirs, abandonnés ! Dois-je les recueillir, les chérir pour ensuite les planter ? Serait-ce une bouture utile, qui en germant donnerait une pensée plus vaste ! Oh, mais dans ce cas, essaie ! essaie de les cultiver, de  les aroser en regardant plus avant dans ton âme. Je ne sais pas,  elles sont fugaces, je ne peux pas les saisir, elles sont trop rapides ! Mais tu es jeune pourtant, j’ai l’impression que cela t’effraie ! M’effrayer, quelle sotte idée ! Non pourtant, tu ne veux pas te rappeler des détails de ta vie, cela se lit en toi. Tu as peur ! Peur de quoi ? Je pense simplement que si le temps passe c’est pour que nous puissions vivre le temps présent… Ressasser le passé, c’est comme s’attacher à ce qui est révolue. On ne peut pas influer sur le passé mais sur le futur ! Pourtant, je sais que tu as envie de te plonger dedans, regarder comment c’est, encore une foi, explorer, en un sens revivre un temps où les responsabilités étaient moindres, te noyer dans tes souvenirs… Cela te tente. C’est possible, mais je ne vois pas l’interêt de me remémorer le tout, il y a des choses… Que tu veux cacher ? Refuser de voir. C’est idiot… Je ne peux rien me cacher, c’est enfoui en moi ! En ce cas, ouvre leur la porte, il ne faut pas se méfier du passé, car il guide l’avenir.. Tu sais, je sens que cela te dérange, que tu veux masquer un évenement, qu’il t’assaille, force les barrières de ta raison, veut passer, mais tu te dérobes. Non, ce n’est pas, je ne pense pas… Alors parle ! Ce n’est pas bien hardue comme ta tâche ! Il faut que tu te laisses prendre, c’est un tout. Bon. Je me souviens de ce grand livre cartonné, aux pages jaunies… Et ? Et je ne sais plus, voila tout ! Ce livre te rappelle autres choses, la plante a germé et te plonge dans des réminiscences pénibles. Peut-être… Mais je vais continuer. Il sent la colle, le vieux papier et l’encre sèche. Beaucoup sont ceux qui prétendent que le papier est inodore, mais cela est faux, il respire ,vit, et se parfume selon la sévérité et l’exigence des instants. Il vit sous mes doigts, il s’agite, je le sens maintenant qui s’épaissit.. Il devient consistant… Oui c’est cela, c’est la mémoire je crois, elle revient ! elle me pénètre m’éxhorte à continuer. Il était assez grand, parcheminé, strié par les âges, comme des veines de cuire sur ces pages plondes, semées d’images glacées, mordantes de couleurs, inavouables. Ce livre est une part de ce que j’ai été enfant, et il est une part de ce moi adulte… Il vit sous mes yeux,  réaffirme mes pensées, je le sais, il est en moi…


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je me souvien le jour ou ma maman ma grander et je lui est dit laisse moi tranquille je suis asser grande je saver pas que un jour elle va partire et me laisser seule