Question
raconter une catastrophe naturelle
choisir entre (orage violent-tempete-tremblement de terre-cyclone-tsunami-éruption)
méthode:
employer un vocabulaire précis
exprimez diverses sentsation(vue-ouie-toucher...)
employer des complément circonstanciel de lieu
20 ligne minimum
choisir entre (orage violent-tempete-tremblement de terre-cyclone-tsunami-éruption)
méthode:
employer un vocabulaire précis
exprimez diverses sentsation(vue-ouie-toucher...)
employer des complément circonstanciel de lieu
20 ligne minimum
Asked by: USER1164
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Answer (318)
C'était un soir d'été, l air était lourd et pesant, le ciel était menaçant.
J'étais sur le bord de ma fenêtre et j'attendais le moment ou tout basculerait.
Puis le premier coup de tonnerre retentit. j'en ressentit les échos dans tout mon corps, puis un déluge de pluie s'est abattu sur la ville.
Je voyais des trombes d'eau tomber comme un rideau épais sur les toits des maisons, les éclairs laissaient surgir des ombres inquiétantes derrières les nuages qui prenaient une teinte sombre et presque pourpre.
J'entendais l'orage gronder comme un monstre furieux,le vent hurler comme un animal blessé et l'eau s'écouler sur les routes comme un torrent.
Il y avait aussi cette odeur, celle de la pluie sur le goudron. la majorité des personnes détestent cette odeur. Moi je l'adore, elle est synonyme de ces instants où la nature se déchaîne.
Je glissais ma main dehors pour sentir les gouttes s'écraser sur ma main, puis je sortais totalement et je laissait l'eau ruisseler le long de mon visage et mon corps. je dansais sous l'orage qui hurlait, je souriais sous ce monde qui valsait et les larmes du ciel répondaient à mes douleurs passées.
J'étais sur le bord de ma fenêtre et j'attendais le moment ou tout basculerait.
Puis le premier coup de tonnerre retentit. j'en ressentit les échos dans tout mon corps, puis un déluge de pluie s'est abattu sur la ville.
Je voyais des trombes d'eau tomber comme un rideau épais sur les toits des maisons, les éclairs laissaient surgir des ombres inquiétantes derrières les nuages qui prenaient une teinte sombre et presque pourpre.
J'entendais l'orage gronder comme un monstre furieux,le vent hurler comme un animal blessé et l'eau s'écouler sur les routes comme un torrent.
Il y avait aussi cette odeur, celle de la pluie sur le goudron. la majorité des personnes détestent cette odeur. Moi je l'adore, elle est synonyme de ces instants où la nature se déchaîne.
Je glissais ma main dehors pour sentir les gouttes s'écraser sur ma main, puis je sortais totalement et je laissait l'eau ruisseler le long de mon visage et mon corps. je dansais sous l'orage qui hurlait, je souriais sous ce monde qui valsait et les larmes du ciel répondaient à mes douleurs passées.